Après avoir lu Atlantis,
du même auteur, que j’ai adoré, je suis rapidement retourné en
librairie où j’ai acheté les deux romans qui lui faisaient suite, dont Le chandelier d’or.
Le résumé m’intéressait déjà un peu moins que celui du premier roman
même s’il y était encore question d’un trésor perdu et historique.
La menora, l’immense chandelier
d’or à sept branches, l’un des objets les plus sacrés du peuple
juif…Retrouver ce peuple perdu depuis des siècles constituerait à coup
sûr l’une des plus extraordinaires découvertes archéologiques de tous
les temps. Quelques mois après avoir localisé l’Atlantide, c’est en tout
cas un défi à la mesure de Jack Howard et de son équipe.
De Constantinople aux glaces du
Groenland, leurs recherches sous-marines confirment peu à peu les
étonnantes révélations d’une carte médiévale…Mais entre la chute de
l’Empire romain et l’apogée du régime nazi, la sainte relique a suscité
bien des convoitises. Et dans l’ombre se réveillent ces appétits, loin
d’être purement scientifiques.
Je crois que j’ai encore plus aimé ce tome-ci que le précédent.
Comme tous les romans de David Gibbins,
l’histoire commence par un prologue se déroulant à une période donnée de
l’histoire. Celui-ci se passe à Rome à l’époque de l’Empereur
Vespasien, à l’époque de la disparition de la menora.
J’ai retrouvé avec plaisir Jack et Costas dans leurs aventures sous-marines.
Contrairement à Atlantis, la
recherche est très longue et les héros doivent se rendre dans de
nombreux endroits pour faire avancer leurs recherches. Je pense que
quand ils sont au Groenland, c’est vraiment mon passage préféré car les
éléments de la nature les mettent en danger et qu’ils doivent faire
vraiment très attention pour mener leur recherche à terme.
J’ai adoré la fin de l’aventure même si
ce qu’on y apprend sur le destin de certains trésors historiques est
assez triste (mais pourtant d’une terrible logique).
Les antagonistes du roman sont vraiment horribles. A côté, ceux d’Atlantis
ne paraissent plus aussi méchants. Il y a une scène de torture et de
meurtre d’une grande cruauté et que j’ai trouvé assez insupportable.
J’ai vraiment apprécié que David Gibbins
parle du Roi Arthur dans son roman même si l’hypothèse qu’il fait sur
mon personnage légendaire préféré ne m’a pas du tout plu avant d’essayer
d’en apprendre plus par la suite. Ce qui me fait confirmer que ses
romans sont très utiles pour avoir encore plus de culture.
Le chandelier d’or est aussi bien
écrit que son précédent roman même si les défauts du premier sont
encore présent dans le deuxième. En effet, les descriptions sur
l’archéologie sous-marines sont toujours assez ardues à comprendre par
une personne qui ne s’y intéresse pas ou peu.
Un deuxième tome qui confirme le talent de David Gibbins. Je suis en pleine lecture du troisième tome, Le dernier évangile.
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